Sommaire
Comment on mesure un visage pour connaître à quel type il appartient.
Mesure du visage
Écartement des tempes
Placez les deux branches du compas sur les tempes, au niveau de la ligne des cheveux.
Retirez le compas après l’avoir bloqué par serrage de la vis réunissant les deux branches mobiles, et mesurez la distance obtenue à l’aide d’une règle.
Reportez sur la ligne. A cette distance, de part et d’autre du centre, ce qui vous donne deux points équidistants.
Écartement des pommettes
Placez les deux branches du compas à la hauteur des pommettes au point de leur écartement maximum.
Bloquez le compas, mesurez la distance sur la règle, reportez cette distance de part et d’autre de la ligne B, ce qui vous donne deux points équidistants.
Écartement de la mâchoire
Mesurer de la même façon que précédemment l’écartement des mâchoires en prenant comme ligne de repère la ligne horizontale formée par la lèvre supérieure. Bloquez le compas, mesurez la distance et la reporter sur la ligne C.
Il suffit alors de relier les points obtenus par des traits pour dessiner la figure géométrique correspondant au type de visage examiné.
Dans l’exemple de la figure ci-après, le type de visage est un diamant.
Les zones du visage
Les morpho-psychologues étudient le visage sur deux plans : horizontal et vertical qu’ils divisent en différentes zones.
- étude du visage sur le plan horizontal
- On distingue sur le plan horizontal, trois zones ainsi déterminées :
- de l’implantation des cheveux à la racine du nez
- de la racine du nez au-dessous du nez
- du dessous du nez au-dessous du menton
La morphologie de ces trois zones permet de déceler certains aspects du caractère du sujet. Les déductions d’ordre caractériel les plus simples sont les suivantes :
1er zone
On observe dans cette zone la largeur du front. Large dans sa partie supérieure, il dénote un esprit imaginatif ; large dans sa partie inférieure, il révèle que le sujet possède un esprit observateur.
2e zone
Lorsque la partie supérieure de cette zone est large, autrement dit, si les pommettes sont bien développées, le sujet est un bon vivant, joyeux et actif. C’est un spontané ; il agira selon sa première impression.
Lorsque, au contraire, c’est la partie inférieure de cette zone qui est plus large, et si la base des pommettes est peu développée, vous êtes un présence d’un être dont la sensibilité domine l’esprit de décision.
3e zone
Cette zone du visage que le sujet goûte avec une joie particulière les plaisirs matériels que peut lui procurer l’existence.
Si cette partie, au contraire, est fine, vous aurez à faite à un idéaliste mitigé. De plus, si la bouche est petite, il est le plus souvent inquiet, soucieux de l’avenir ; un peu rêveur et inactif.
Sur le plan vertical
Tous les auteurs qui, depuis l’antiquité, se sont consacrés à l’étude de la morphologie humaine font remarquer l’assymétrie plus ou moins apparente mais réelle, existant entre la partie gauche et la partie droite du visage et du corps.
On dirait que nous sommes faits de deux moitiés parfaitement recollées l’une à l’autre, mais pas exactement pareilles.
Il est aisé de constater cette assymétrie en partageant le visage au moyen d’une simple feuille de papier, ou en traçant sur une photo de face, une ligne allant de l’implantation des cheveux, par le milieu du front, jusqu’au menton.
Le visage ainsi partagé, vous verrez que l’hémi-face gauche n’est pas exactement le même que l’hémi-face droit, que les expressions sont différentes, et que très souvent, le côté gauche est plus mince.
L’exécution de ce partage est nécessaire pour faciliter la lecture du visage ; on ne peut pas bien définir le tempérament de l’individu en l’examinant de face seulement et dans son ensemble.
Il faut de plus que l’esthéticienne s’aperçoive de l’importance de cette assymétrie dont elle tiendra compte lors du modelage du visage par le maquillage. Elle pourra ainsi rétablir un équilibre harmonieux.